New York, ça inspire. A tel point que le monde musical n’a cessé de lui rendre hommage. De Frank Sinatra à Sting, en passant par Téléphone ou plus récemment Jay-Z, tous les ténors de la chanson y sont allés de leur petite note. La ville de Broadway, c’est de la pure folie !
Et ça commence bien quand je chantonne dans ma tête le célèbre tube façon Sinatra tout le long du trajet. Avec ça, difficile de garder son sérieux à la frontière américaine ! Fraîchement débarqué avec 4 Français de Montréal, on atterrit directement à Times Square, et là effectivement, ça balance. Des buildings immenses, des affichages publicitaires monstres, une foule en délire…! Pardon, je m’emporte. Disons que ce fut ma foi une première impression plutôt positive (même si paradoxalement, toutes ces pubs…). Et la démesure concerne aussi le Central Park, lui qui mesure l’équivalent de 682 terrains de football. Rien que ça.
Mais pas le temps de m’y attarder, j’ai bien trop de choses à découvrir en une semaine. La statue de la Liberté, figure emblématique perchée sur son île, paraît être un bon début. Puis cap sur Ellis Island, symbole de l’immigration américaine et de son prétendu rêve. Après cette visite, celles des quartiers communautaires ont curieusement eu une autre saveur. Plus réjouissantes sont les montées de l’Empire State Building et du Rockefeller Center, avec une vue imprenable de la ville. Mais cette mégalomanie fait un peu peur, d’autant que le nouveau World Trade Center, actuellement en construction, prend des proportions gargantuesques…
Alors pour se changer les idées, pourquoi pas un peu d’art ? La Grosse Pomme (un surnom quand même bien pourri) n’en manque pas, et le Metropolitan Museum of Art est là pour nous le rappeler. D’ailleurs, la richesse de ses collections est telle qu’il m’a été impossible de tout voir. Définitivement à refaire. Ce qui est également le cas de l’American Museum of Natural History, si impressionnant que ma visite tenait plus d’une course contre la montre. En revanche, l’art contemporain et pseudo-moderne du MoMA, c’est non, non et non. Tout comme les centaines de sacs poubelles qui jonchent le sol de la ville… On peut toujours aller étouffer dans le bouillonnant métro new-yorkais et malgré tout attraper la crève grâce aux trains climatisés. Point plus que positif, il est fonctionnel 24h/24 !
Un petit tour de ferry pour admirer Manhattan aux aurores, un court passage par le Brooklyn Bridge, Wall Street, la Columbia University, quelques boutiques de fringues à SoHo & Co (et le Nike Store pour y trouver des joueurs de foot baskets), et la boucle est bouclée. Sans oublier l’inévitable course en taxi jaune !
Tu me fais tjs rêver et tu écris tjs aussi bien ! Des bisous !
t’as oublié de prendre un écureuil en photo à central park
J’ai pas oublié, c’est incontournable !