McGill, Sorbonne : même combat

Comment parler de Montréal sans évoquer la prestigieuse université McGill ? Sous ses faux airs de Poudlard rempli d’Hermione Granger, l’institut accueille des étudiants du monde entier afin de « développer au maximum leur potentiel » dans divers domaines. A côté de la classe internationale, que vaut la classe française ? Laissons le hasard décider du choix de l’heureuse élue… Bon, en l’occurrence, le hasard ce sera moi.

A ma gauche, Paris 3 Sorbonne Nouvelle, temple sacré de la révolte estudiantine. A ma droite, l’université McGill, haut lieu de l’excellence académique. David contre Goliath. Brahim Asloum versus Muhammad Ali. Foucault face à Nietzsche…

Petit jeu (innocent) de comparatifs :

McGill a un campus immense ; Paris 3, de l’amiante. L’université canadienne compte un stade couvert, une école de musique, des laboratoires, un centre médical, un musée, une dizaine de pavillons, une librairie sur trois étages et ses propres journaux internes ; l’université française, le plus grand nombre de cafés et de grèves au km². A proximité de la fac québécoise, on peut flâner au Mont Royal ou au Centre Eaton ; mais près de la fac parisienne, on peut découvrir Mouffetard, le Jardin des plantes, le Luxembourg, le Panthéon…

Bon allez, (presque) match nul, tout le monde aux vestiaires.

 

 

 

2 réponses à “McGill, Sorbonne : même combat

  1. T’as oublié un haut lieu touristique à proximité de Paris 3 : mon appartement voyons !! ;)
    Bisous caribou !
    Cél’

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