Nouvel an rime avec allemand. C’est donc à Francfort, célèbre place boursière comme alimentaire, que nous passerons le réveillon.
Une fois arrivés, le ton est donné : notre auberge de jeunesse, idéalement située au cœur de la ville, charme un peu moins par son environnement proche du Pigalle parisien ou du Quartier rouge d’Amsterdam. Loin d’être au bout de nos surprises, nous sentons et ressentons, à l’heure de prendre nos quartiers, une odeur nauséabonde et infecte émanant de notre dortoir… Le huitième larron, notre voisin de chambrée, réussit le répugnant exploit, à lui seul et sans même être présent physiquement, de faire fuir ses sept colocataires, autrement dit, nous. Le staff lui aussi dégoûté, mais ne pouvant/voulant rien faire malgré nos plaintes répétées, ne nous sera d’aucune utilité. Les trois prochaines nuits promettent d’être parfumées…
La visite de la vieille ville, quant à elle, recèle de plus subtiles saveurs. Avec ses édifices d’époque, cathédrale Saint-Barthélemy en tête, la vue panoramique de la Main Tower, l’impériale alte Oper, le zoo ou encore le jardin botanique, tout cela sent délicieusement bon. Ce qui nous amène aux spécialités locales : saucisses de Francfort, Schnitzel et Haxe arrosées d’Apfelwein. Prost !
Il y a des parkings réservés aux femmes ?!
Des places de parking réservées aux femmes, aussi improbable que ça puisse paraître !